370 pages
4 ème de couverture
370 pages
4 ème de couverture
304 pages
4 ème de couveture
Editions Livre de poche
320 pages
" La vie est courte. Je ne sais pas où je vais, mais j'y vais. J'avance peut-être pas vite, mais je ne recule jamais. "
« L'agréable impression de redécouvrir ces vastes étendues et ce bol d'air pur oublié depuis presque vingt ans. Le plat pays de son enfance. Sa patrie. »
« Il était rentré dans la police nationale pour veiller à la tranquillité des personnes et des biens, faire régner la loi et stopper les criminels, alors il traçait sa route droit devant lui sans se poser de question. »
« D'ailleurs il avait conservé un bijou de chacune de ses victimes. Le fait de les ressortir, de les toucher, lui procurait une sensation inextricable, une jouissance extrême... »
4 ème de couverture
Mon avis
Dans « La déroute » , le lecteur suit l'aventure et les mésaventures d'Annie enceinte de neuf mois. Elle se retrouve dans le magasin Ikea pour acheter un berceau qu'elle ne le trouve pas au rayon et la terre se met soudain à trembler. C'est la faute à pas de chance, comment va-t-elle joindre maintenant son mari ? Annie quitte immédiatement le magasin et traverse cette ville détruite par ce séisme pour tenter de retrouver son époux, Dom.
Avec un tel sujet, il y a de quoi « trembler » de stupeur ! En effet, l'autrice sait faire preuve d'humour au fil des pages. Ce style qui peut paraître enjoué, permet de traverser une histoire qui a de quoi angoisser les personnages et les lecteurs. La narration ciselée d 'Emma Pattee fait basculer Annie dans un monde apocalyptique. Son écriture m'a permise de me mettre à la place de cette femme très sympathique. J'ai ressenti son angoisse face aux éléments qui se déchaînent. Très effrayant!
À l'image du titre, j'ai été déroutée par la façon dont
le récit enchaîne les rencontres d' Annie. Elle en a du courage, cette femme
enceinte, qui déambule dans un monde complètement ravagé. Les rues sont des zones
dangereuses mais heureusement, de bonnes surprises peuvent arriver. Et puis, le
caractère de notre héroïne lui permet bizarrement de faire face. Quoique !
Emma Pattee ne facilite pas la tâche aux lecteurs. En effet, la fin est très
particulière. Peut-être pour secouer les esprits ?
Editions Le Muscadier
160 pages
4 ème de couverture
Editions points
336 pages
4 ème de couverture
Editions Bucher Chastel
4 ème de couverture
Mon avis
" Il avait quitté le centre des cancéreux totalement détruit. On n'aurait jamais dû le laisser atteindre pareil état de délabrement, on aurait dû modifier son traitement ou l'interrompre en cours de semaine, et le garder sous surveillance jusqu'à l'avoir remis sur pied. "
" Bien que six mois, il en est conscient, risquent d'être un délai trop optimiste. Mais il lui faut une date limite, une ligne d'horizon. Six mois, c'est bien, ça sonne rond. Et si ça doit se réduire à trois, ce sera trois. Ce qui vient, il le veut joyeux. Il va mourir, inutile de s'appesantir là-dessus, mais il refuse que ce soit triste. "
L'Archipel Editions
340 pages
4 ème de couverture
« Ma famille a été la dernière à laquelle s'est attaqué cet homme, mais ce n'était pas la première cible en l'espace de deux ans. La presse l'avait surnommé le courant d'air au prétexte que les gardai ne savaient rien de lui. »
Edition City
400 pages
4 ème de couverture
Mon avis
" Je n'avais jamais rencontré quelqu'un de vraiment spécial avant. Et voilà qu'à trente-huit ans, je découvre mon âme sœur pour la première fois, et elle n'a que seize ans. "
400 pages
4 ème de couverture
" A tous les amoureux du monde : soignez vos au revoir. [...] Qui hormis demain sait qu'il n'y aura pas d'autres fois ? "
Editions Michel Lafon
480 pages
4 ème de couverture
" Elle n'a pas seulement tué Béatrice L.... elle a tué quelque chose en nous tous. Une part d'insouciance, le bonheur évident dans lequel on vivait, nos certitudes, notre fierté, notre potentiel de joie... notre famille, peut-être. Qu'en restera-t-il ? "
Aubane Editions
264 pages
4 ème de couverture
Je suis contente de retrouver l’officier Jo-Ann Banceline. Cette fois-ci, l’histoire se situe à Berck-sur-Mer dans le Pas-de-Calais. Marquée par son passé, Jo-Ann enquête sur une nouvelle affaire délicate.
" J'ai souvent eu des difficultés à me satisfaire de mes accomplissements par le passé, mais cette fois, j'essaie d'en être fière. Je tente aussi de dominer la peur qui m'assaille un peu plus à chaque kilomètre que je parcours. "
Un corps a été retrouvé sur les rails à Verton. Est-ce un suicide ou un meurtre ?
Parallèlement à cette affaire, une mère, Carla Trojman, est portée disparue. Après " De verre et de sang", Blandine Bulté remet en scène son personnage principal qui devra se montrer plus courageuse pour affronter ses craintes et surmonter surtout ses cauchemars qui la hantent sans cesse.
Geste Editions
256 pages
4 ème de couverture
" Ces deux disparitions presque simultanées dans un village comme Tavezy ne peuvent pas être le fruit du hasard. Pourtant rien ne semble lier les deux hommes. Si ce n'est leur âge et le village où ils résident. "
" Pour ma défense, sachez que ces créatures sont certainement les plus terrifiantes et les plus cruelles de la création. De bonne taille et tout en muscles, leur fourrure épaisse est constituée d'un poil aussi noir que le charbon froid (s'éclaircissant parfois avec l'âge), et leurs griffes sont aussi longues que tranchantes. "
" Vous sauriez qu'Aline Beuscart, alias Emilie, est une influenceuse réputée. Ses chroniques de psychothérapie sont suivies par de plus en plus de gens. "
Albin Michel
432 pages
4 ème de couverture
Mon avis
Aubane Editions
168 pages
4 ème de couverture
Mon avis
" La victime est Violaine Marescaut, propriétaire des lieux avec son mari Daniel Marescaut dont vous avez dû faire la connaissance. 35 ans, artiste peintre. Trouvée morte dans le salon avec plaies à la tête et au thorax d'après les premières constatations du médecin légiste. "
Aubane Editions
296 pages
4 ème de couverture
" Des meurtres particulièrement violents. Une vendetta sauvage contre des gens qui avaient eux-mêmes été violents avec des enfants. "
Editions Pocket
360 pages
4 ème de couverture
« C'est à cela que Dassieux et Gabriel passent leur vendredi, leurs chaussures de Parisiens s'alourdissant étape après étape du poids du passé, des renoncements, des regards en biais. À naviguer entre les hangars, les resserres à outils et les serres où on s'active à des semis divers. »
Editions Julliard
208 pages
4 ème de couverture
" Je vous demande de vous mettre à notre place. Un instant. Rien qu'un instant. Votre enfant vient vous raconter l'humiliation, la persécution, le bannissement. C'est votre fils, votre fille, il a douze ans, elle en a huit ou quatorze. C'est la chair de votre chair, ce que vous avez de plus précieux au monde. C'est l'être que vous devez protéger, défendre, soutenir, aider à grandir. Et il vient vous avouer cela. Vous y êtes ? Vous la devinez, votre stupéfaction ? votre culpabilité ? votre douleur ? votre colère ? Ça vous envahit, pas vrai ? ça vous submerge, ça vous dépasse, ça vous anéantit. Et ça, ce n'est que le début. Que les toutes premières minutes. "
Mon avis
" Vous parler de mon fils " est l'histoire d'un couple, Vincent et Juliette, qui a deux enfants Hugo et Enzo. Mais cette famille vit un véritable drame. Un des fils, l’aîné, s'est suicidé dans sa chambre. Hugo n'avait que 14 ans. Il n'a pas eu le temps de vivre pleinement auprès de ses proches. Tout cela à cause des agresseurs, des adolescents de son âge qui se sont pris farouchement, physiquement à Hugo.
Hugo n'a rien demandé, c'était un adolescent normal mais physiquement faible car il n'avait pas trop de muscle. Ces collégiens ont pris Hugo comme un punching ball faisant de lui une principale victime. Les insultes, les coups et les menaces sur les réseaux sociaux font vivre un véritable enfer à Hugo.
Dans ce récit, c'est Vincent, le père qui narre le récit tragique de son fils. Il retrace les souvenirs passés d'Hugo. Mais une question taraude ce couple. Pourquoi n'ai-je rien vu ? Suis-je coupable du suicide de mon fils ? Le couple n'a pas saisi immédiatement le malaise et la souffrance de leur fils. Les parents n'ont pas pris ce problème au sérieux.
" Quand je t'ai parlé de trucs graves, tu ne m'as pas écoutée, tu te rappelles ? Elle aurait raison. La première fois qu'elle m'a glissé à l'oreille: " Je crois qu'il se passe quelque chose avec Hugo, il n'est pas bien, je me suis, en effet, contenté de hausser les épaules. "
Editions Le Muscadier
320 pages
4 ème de couverture