Geste Editions
600 pages
4 ème de couverture
Le Mendiant l’avait prévenu à son arrivée dans le Berry où il venait d’être muté. « Fais gaffe à ne pas rester trop longtemps, mon pote ! Et fais gaffe aussi aux jeunes ! Ici ils s’emmerdent. Mortellement... »
Lorsque, en pleine période électorale, « Celui qui regarde à travers les murs » vole une photo dans une banque d’images ultrasécurisée et l’expédie par mail aux élèves du collège Colbert à Châteauroux avec le message « Vous la reconnaissez ? », c’est une bombe qui tombe sur la ville.
En découvrant la photo, Anita, « le cafard », veut disparaître de la surface de la Terre, mais non sans faire payer les responsables de son humiliation. Elle les entraînera tous dans sa chute. L’effet domino sera dévastateur. Et gare aux dommages collatéraux.
Le commandant Yann Lespoir, qui mène l’enquête, ne sera pas épargné. Le Mendiant l’avait prévenu.
Mon avis
Je me lance dans " La chute du cafard", c'est un énorme pavé, 600 pages. J'espère qu'il sera à la hauteur de mes attentes et qu'il m'emmènera loin!
Certes le début est lent, le temps que l'auteur aborde et nous brosse les personnages, j'ai fait connaissance des lieux et de l'ambiance.
Une fois arrivé à la page 100, l'intrigue commence à prendre de l'ampleur. Une jeune adolescente s'est défenestrée d'un appartement du 3 ème étage. L'action se passe dans le Berry, près de Châteauroux. Divers cambriolages sévissent dans la région et les gendarmes vont devoir mener l'enquête.
S'ensuivent d'autres faits qui vont faire intervenir une fois de plus les gendarmes mais aussi la SRPJ d' Orléans et de la commissaire divisionnaire Jézabel Declercq. Certaines tensions subsistent entre coéquipiers...
" - Quelle merde! Des enfants prisonniers, contraints au vol et à la cambriole. Des adultes dont on n'est pas capable de déterminer le rôle exact: victime ou geôlier, ou les deux? Notre affaire dépasse de loin l'organisation de cambriolages en série et de recel. "
" La chute du cafard" est une roman très complexe car il existe une diversité de personnages, tous bien fouillés et de nombreuses histoires s'implantant dans le récit. Au fil des pages, l'auteur, Denis Zott arrive à fusionner le tout. C'est un véritable puzzle que l'auteur construit et quelle construction; le résultat est saisissant! On sent que l'auteur connait chaque endroit décrit, il y prend du plaisir et son écriture en témoigne.
La construction de l'intrigue est énorme et quant aux personnages, certains sont attachants et d'autres dépourvus de sentiments. Anita, Yann Lespoir restent mes préférés.
Au final ces 600 pages, tu ne les vois pas; tout va très vite. Les rebondissements et les tensions sont au summum. Les thèmes cités dans " La chute du cafard" sont variés; la vengeance prédomine, le sexe, la drogue et l'alcool font partie de l'action.
Je ne sais en combien de temps, Denis Zott a écrit " La chute du cafard" ni comment il a eu l'idée de mener une telle intrigue, mais je lui tire mon chapeau car tout est bien orchestré faisant de ce thriller une réussite.
Certaines paroles de Hubert- Félix Thiéfaine bercent et donnent le rythme à ce récit.
Quant à la fin, c'est juste Waouh! Je me suis trompée jusqu'au bout.
Pour un premier roman, Denis Zott frappe très fort; je suis curieuse de savoir ce que l'auteur va nous concocter par la suite car " La chute du cafard" est un roman implacable dont l'écriture est addictive et vous happe jusqu'au dénouement.
Certes le début est lent, le temps que l'auteur aborde et nous brosse les personnages, j'ai fait connaissance des lieux et de l'ambiance.
Une fois arrivé à la page 100, l'intrigue commence à prendre de l'ampleur. Une jeune adolescente s'est défenestrée d'un appartement du 3 ème étage. L'action se passe dans le Berry, près de Châteauroux. Divers cambriolages sévissent dans la région et les gendarmes vont devoir mener l'enquête.
S'ensuivent d'autres faits qui vont faire intervenir une fois de plus les gendarmes mais aussi la SRPJ d' Orléans et de la commissaire divisionnaire Jézabel Declercq. Certaines tensions subsistent entre coéquipiers...
" - Quelle merde! Des enfants prisonniers, contraints au vol et à la cambriole. Des adultes dont on n'est pas capable de déterminer le rôle exact: victime ou geôlier, ou les deux? Notre affaire dépasse de loin l'organisation de cambriolages en série et de recel. "
" La chute du cafard" est une roman très complexe car il existe une diversité de personnages, tous bien fouillés et de nombreuses histoires s'implantant dans le récit. Au fil des pages, l'auteur, Denis Zott arrive à fusionner le tout. C'est un véritable puzzle que l'auteur construit et quelle construction; le résultat est saisissant! On sent que l'auteur connait chaque endroit décrit, il y prend du plaisir et son écriture en témoigne.
La construction de l'intrigue est énorme et quant aux personnages, certains sont attachants et d'autres dépourvus de sentiments. Anita, Yann Lespoir restent mes préférés.
Au final ces 600 pages, tu ne les vois pas; tout va très vite. Les rebondissements et les tensions sont au summum. Les thèmes cités dans " La chute du cafard" sont variés; la vengeance prédomine, le sexe, la drogue et l'alcool font partie de l'action.
Je ne sais en combien de temps, Denis Zott a écrit " La chute du cafard" ni comment il a eu l'idée de mener une telle intrigue, mais je lui tire mon chapeau car tout est bien orchestré faisant de ce thriller une réussite.
Certaines paroles de Hubert- Félix Thiéfaine bercent et donnent le rythme à ce récit.
Quant à la fin, c'est juste Waouh! Je me suis trompée jusqu'au bout.
Pour un premier roman, Denis Zott frappe très fort; je suis curieuse de savoir ce que l'auteur va nous concocter par la suite car " La chute du cafard" est un roman implacable dont l'écriture est addictive et vous happe jusqu'au dénouement.
L'auteur
Né à Strasbourg, cet Alsacien de souche exerce dans la communication des collectivités locales, de préférence balnéaires, ce qui lui a valu de traverser plusieurs fois la France d’une mer à l’autre, des Sables d’Olonne à Saint-Tropez, en passant par le Berry. Durant ses loisirs, quand il n’écrit pas à la terrasse d’un bistrot, ce randonneur acharné parcourt montagnes et déserts. Sa devise : « Mes racines, je les plante dans les étoiles ; c’est la meilleure façon de voir la Terre ». La Chute du cafard est son premier roman.
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