Editions Phénix Noir
540 pages
4 ème de couverture
Editions Phénix Noir
540 pages
4 ème de couverture
Editions Le Muscadier
282 pages
4 ème de couverture
« Vous êtes sur le répondeur de Maxime, laissez-moi un message ! »Pour la dixième fois, la centième fois, je raccroche.Je laisse passer une poignée de secondes, et puis je rappelle. Encore.J’erre chez nous, je tourne comme un lion en cage.Il est 3 heures du matin.Mon mari s’est volatilisé en pleine nuit.La chambre de mon bébé est vide.Vide.—–Un roman noir aux allures de thriller qui sonde les abyssesles plus profonds de l’âme humaine. Peut-on jamais vraiment connaîtreles personnes qui partagent notre vie ?
Mon avis
Comment Amélie Antoine peut écrire de tels romans ! Sa grand-mère lui a pourtant dit d'écrire de jolies histoires joyeuses. Mais le lecteur sait que lorsque l'on commence un livre d'Amélie Antoine, ce ne sera pas de gaieté de cœur. Les histoires que nous propose Amélie sont souvent axées sur le thème de la famille, de la société. Ses écrits ne sont-ils pas le reflet de notre vie ?
" Pourquoi tu pleures " mise avant tout sur un sujet très fort qui hélas est parfois difficile à discuter avec son entourage. Comment ne pas être touché par ce récit ?
C'est une lecture qui m'a complétement mise K.O. . Au fil des pages, j'ai suivi progressivement l'histoire de Lilas Colombel et de sa famille. Parfois intime, Lilas partage quelques souvenirs dans des extraits de journal. Ainsi le lecteur en apprend davantage sur la famille Colombel. Jusqu'au jour où le Samedi 18 Juin 2022 tout dérape…
Je n'en dévoilerai pas plus sur l'histoire car je ne voudrais pas spoiler celle-ci. Alors j'ai décidé de vous faire partager mes sentiments à la lecture de " Pourquoi tu pleures " .
C'est une lecture frappante, révoltante et qui m'a percutée de plein fouet. Certains passages sont durs à lire me mettant dans un état de transe considérable. C'est un sujet qui me touche tant.
Editions Fleuve noir
528 pages
4 ème de couverture
« C'était peut-être la grippe, qu'il craignait autant que la peste. S'il ne pouvait plus travailler, il allait se faire virer. Le boss avait été clair : il y avait plein de chômeurs en bonne santé qui attendaient à la porte de la boîte, prêts à trimer comme des esclaves pour gagner tout juste le Smic. »
M+ Editions
288 pages
4 ème de couverture