lundi 26 janvier 2015

Sharon Bolton: "Sous emprises"



Edition Fleuve noir
496 pages

4 ème couverture


À l’université de Cambridge, Evi Oliver, la psychiatre responsable des services de soutien psychologique, contacte Scotland Yard : une vague de suicides inquiétante frappe les étudiantes. Lacey Flint, jeune et jolie policière, est alors envoyée infiltrer les bancs de l’université. Une mission qu’elle compte remplir au plus vite : jouer les fragiles jouvencelles ne lui correspond guère. Mais, petit à petit, l’enquêtrice sûre d’elle et inébranlable vacille. D’étranges rêves peuplent ses nuits. D’ailleurs, s’agit-il bien de chimères ? Alors que les frontières de la réalité se brouillent et que le doute l’assaille, les griffes de l’angoisse l’étreignent et la portent au bord du gouffre. À croire que, dans l’ombre de son sommeil, quelqu’un joue de ses peurs pour mieux étendre son emprise sur elle…

Mon avis

" Sous emprises " m'a littéralement envoutée, la couverture est superbe et le titre est intriguant.
Dès le début de ce roman, l'action démarre de suite, j'ai été happée par cette histoire où suicide et cauchemars sont à l'honneur.
Des candidates sont prises au piège, manipulées et sont menées par la suite au suicide.
Lacey Flint, jeune policière, doit ainsi découvrir et mener l'enquête dans cette université en se faisant passer pour Laura, une étudiante un peu chétive. Elle doit a tout pris savoir pourquoi le taux de suicide est élevé dans ce bahut et comprendre ce qui perturbe pour autant la psychiatre, Evi.

L'auteure, Sharon Bolton a le don de créer une atmosphère malsaine dès le début du roman, je me suis sentie mal à l'aise en lisant ce dernier, c'est noir, angoissant à souhait.

"Pendant plusieurs minutes, j'ai eu l'impression qu'il faisait plus sombre dans ma chambre qu'à l'ordinaire. Ensuite je me suis rendu compte que je n'arrivais pas à ouvrir les yeux. Sur ma droite, là où le rebord de le fenêtre tenait lieu de table de chevet, j'entendais le grattement..."

Les chapitres sont très courts et le rythme est effréné. C'est une histoire dont je ne me suis pas sortie indemne de ma lecture tellement l'action est omniprésente , c'est complètement addictif et perturbant.

Les personnages sont très bien décrits psychologiquement si bien que j'étais sous l'emprise de ce récit. Il m'a procuré beaucoup d'angoisses, et de sueurs froides.

A découvrir si vous aimez les sensations fortes et les histoires assez lugubres.

L'auteure



 
Sharon Bolton est née dans le Lancashire, en Grande Bretagne. Après des débuts dans le marketing, les relations publiques et la finance, elle quitte la City pour fonder une famille et écrire Sacrifice, son premier roman. Elle vit actuellement près d'Oxford avec son mari et leur jeune fils.

 


dimanche 25 janvier 2015

Marin Ledun:" Au fer rouge"


Editions Ombres Noires
464 Pages
http://www.ombres-noires.com/

4 ème couverture

Madrid, 11 mars 2004, dix bombes explosent dans des trains de banlieue. Rescapée, le lieutenant Emma Lefebvre entre en guerre contre le terrorisme. La découverte d'une valise contenant le cadavre d'un trafiquant de drogue espagnol, échouée sur une plage landaise, dix ans plus tard, ravive les vieilles blessures. Emma met bientôt au jour une véritable organisation mafieuse, avec à sa tête Javier Cruz, seigneur de l'antiterrorisme. Des rives du fleuve Nervión aux bas-fonds de Bayonne, des banlieues déshéritées de Madrid aux palaces de la côte basque, la géographie de la corruption n'a pas de frontières.


Mon avis


Je qualifierais ce livre de thriller mais aussi de roman d'espionnage où l'action se situe dans les Landes et pays Basque.

J'ai pris le temps de lire et de savourer " Au fer rouge" car j'apprécie beaucoup la plume de cet auteur.

Dans ce roman, des morts refont surface et dès le début, l'action est présente, un homme a été retrouvé dans une valise, complètement torturé.Qui a pu commettre de telles atrocités?Trois flics de Bayonne suivent l'affaire de très près en particulier Emma Lefebvre, qui s'acharne et se plonge dans cette enquête à haut risque et certains souvenirs ressurgissent.

Tous les thèmes sont abordés dans "Au fer rouge" : trafiquants d'héroines, terroristes et conflits basques sont de prime à bord au coeur de cette histoire.

" Cet abruti veut des garanties. Il veut que son nom disparaisse des murs de la ville. Il a l'impression d'être l'ennemi public numéro un. Il dit qu'on le traite comme l'homme à abattre...."

L'intrigue est bien menée et très bien documentée, Marin Ledun a su me faire plonger dans ce récit où corruption et terrorisme n'ont pas de limite. Le rythme est intense, avec des chapitres assez courts, et les personnages sont attachants. La cadence de ce roman est tellement puissante que j'ai eu dû mal à le lâcher et à tel point que j'en ressors marquée au fer rouge.

Vous l'aurez compris que Marin Ledun m'a de nouveau comblée avec ce livre à la fois fort et percutant. Je le recommande fortement et avis aux amateurs aimant manipulation et trafic en tout genre.



vendredi 23 janvier 2015

JB LEMAL : " Wally Jazz "




4 ème couverture

Wally Jazz Rivers est né en Caroline du Sud en 1925, avec pour toute fortune sa négritude, un talent de pianiste et le Jazz. Son histoire d’amour avec Laura, une jeune fille blanche douée pour le dessin, va bousculer les règles de la ségrégation.

Chassés par tous, ces aventuriers de la vie se retrouveront à New-York, à Paris pendant la guerre, et au bord de la rivière Savannah. La musique de Wally et les portraits de Laura vont dévoiler la profondeur de leurs blessures et de leur passion…


Cette histoire est basée sur la vie de plusieurs musiciens et s’inspire aussi de faits historiques peu connus de la seconde guerre mondiale, sur la vie à Saint-Germain-des-Prés à la fin des années quarante. L’ensemble du récit est bien sur rythmé par la musique de Jazz !

Mon avis

Jamais je n'aurai pensé qu'un livre m'aurait autant chamboulé et mis à l'épreuve mes sentiments, une crainte qu'il arrive quelque chose aux personnages, Wally, Laura et leur entourage.

J'ai suivi le parcours de Wally et Laura de leur enfance à l'âge adulte. Wally Williams, un jeune noir a choisi de se tourner vers la musique et choisit comme instrument le piano, le son sorti des touches d'ivoire noires et blanches met en émoi le cœur de Laura, une jeune fille très belle et blanche.

Ainsi le cœur de Wally se met à vibrer pour la jeune Laura qui trouve sa passion dans le dessin.

"Très vite, je tissai avec les touches, une liaison, un dialogue, une rédemption. Les notes et les enchaînements étaient encore hasardeux, sans rythme et sans respiration, mais le piano savait tout de ma vie, de mes bonheurs et des soirs où ma mère ne trouvait pas le chemin de la maison."

Ces deux personnes vont devoir se séparer car la Guerre éclate et vont devoir prendre deux chemins différents pour leur travail.
Ils ne peuvent laisser libre court à leur Amour car, pour certaines personnes assez proches d'eux,
une blanche ne peut fréquenter un noir, c'est très mal vu et le racisme, la ségrégation se font sentir.Wally sait très bien qu'un danger le guette à cause de cette relation.

mercredi 14 janvier 2015

James Dashner : " Le labyrinthe " Tome 1




4 ème couverture

SE SOUVENIR, SURVIVRE, S'ENFUIR


Quand Thomas reprend connaissance, sa mémoire est vide, seul son nom lui est familier... Il se retrouve entouré d'adolescents dans un lieu étrange, à l'ombre de murs infranchissables. Quatre portes gigantesques, qui se referment le soir, ouvrent sur un labyrinthe peuplé de monstres d'acier. Chaque nuit, le plan en est modifié.

Thomas comprend qu'une terrible épreuve les attend tous. Comment s'échapper par le labyrinthe maudit sans risquer sa vie ? Si seulement il parvenait à exhumer les sombres secrets

enfouis au plus profond de sa mémoire...


Mon avis

J'en ai tellement entendu parler que je me lance dans ce premier tome: " L'épreuve" et je découvre les romans jeunesses et c'est très sympa à lire.

Dès le début du "Labyrinthe ", l'action commence très fort, le jeune héros, Thomas, se retrouve dans ce labyrinthe par hasard, il ne souvient de rien, et fait connaissance d'autres adolescents ayant séjourné depuis pas mal de temps dans cette boîte murale. Thomas apprend certaines règles à respecter et parvient à se rendre utile dans ce monde où les murs bougent sans cesse.

Mais où est la sortie? Y a t-il une issue possible? Dans quel but s'est il retrouvé dans ce bloc?

Je me suis posée autant de questions dans ma tête à la lecture de ce livre.

dimanche 11 janvier 2015

Guillaume Garnier: " Kismet "




4 ème couverture



Alexandre, jeune Français de vingt-trois ans, arrive en Inde pour un séjour de quelques mois.

Sur place, il se lie d'amitié avec une famille indienne, chez qui il finit par poser ses bagages.

Accueilli par le tonitruant Hassan et la douce Asia, il apprend peu à peu la langue, la culture et découvre un pays où le merveilleux côtoie le sordide, où les destins comme les secrets peuvent être balayés en un revers de main.

Mais, en Inde peut-être plus qu'ailleurs, on ne tombe pas amoureux de n'importe qui...


Mon avis


Kismet veut dire destin , fatalité , fortune , lot , chance , charme.

J'ai l'habitude de lire des thrillers et je dois dire que ce roman différe de mes lectures actuelles car "Kismet" est une romance et je peux vous dire que c'est une belle découverte.

Ce roman est rempli de tendresse mais aussi d'incompréhension pour le jeune français, Alexandre.

L'action se situe en Inde, un pays où certaines traditions et coutumes peuvent paraître à nos yeux assez dures.Ce jeune héros va donc découvrir la culture de ce pays en séjournant chez une famille indienne, étant très bien accueilli, il va connaître petit à petit les habitudes de cette famille. Le couple, Hassan et Asia vont faire en sorte que le séjour d' Alexandre se passe à merveille et ce dernier va avoir des sentiments à l'égard de Asia.

" Je revois ce moment, cet instant magique où la porte de la Haveli s'est ouverte et où enfin je l'ai vue, là, en face de moi, sortie de mes rêves pour apparaître finalement, toujours aussi belle, diamant intact à l'éclat internel."

mercredi 7 janvier 2015

Philippe Boizart : " Le marteau des sorcières "




4 ème couverture


Camille, marquée par l’affaire « Cochise », le tueur aux scalps, ressent le besoin de revenir dans le village de son enfance. Elle se rend seule à Templeuve, dans le Nord de la France, déterminée à se ressourcer et retrouver les liens forts qui l’unissaient à son cousin. Mais la quiétude de la région est troublée par une série de meurtres, dont l’étrange rituel va réveiller les instincts de policier de Camille.

Mon avis

 Je tiens tout d'abord à remercier Philippe Boizart pour le livre. J'avoue n'avoir pas eu l'opportunité de le faire dédicacer et d'échanger avec lui sur ce roman. De ce fait, il m'offre " Le marteau des sorcières " en échange d'une chronique, et ce n'est pas de refus.

 Je suis contente de retrouver les personnages Camille et Mathias de "le reflet de la salamandre ".Ce troisième livre est bien différent des autres opus car l'auteur, Philippe Boizart, a plus ciblé son histoire sur la spiritualité et l'ésotérisme.

 " Les songes sont parfois un lieu de rencontre."

"Je pense que dans toutes le légendes qui plus est anciennes, il y a une part de vérité et une part d'imaginaire."

Je me plonge sans problème dans ce récit car la sorcellerie est un sujet que j'aime énormément et le thème de ce livre traite de Marie Navart, la célèbre sorcière de Templeuve et du livre marteau des sorcières, Malleus Maleficarum.

lundi 5 janvier 2015

J-B Durrault : " La Geisha et le casseur de tirelire "




4 ème couverture

Une profonde amitié naît entre deux truands, deux "beaux mecs"
comme on dit dans le Milieu... Leur vie est faite de parcours carcéraux,
de magouilles, d'actions violentes, d'entraide sans condition et de vie
facile.
Jason Bossavie est l'un de ces beaux mecs. À sa sortie de prison, il
veut raccrocher, quitter son passé et son milieu, LE Milieu. Mais ce
n'est pas si simple...
Il y a ces flics, pas très clairs, hargneux tels des pitbulls, qui rêvent de
l'accrocher à leur tableau de chasse, de sonner l'hallali… Ils réclament
leur part de sang !
Et puis il y a la geisha… Ah la geisha ! Pas une femme ordinaire ou un
"tapin" comme ils disent. Non, LA femme.
Il y a aussi ce Fouad Rezallah, qui portait un costume trop grand pour
lui… À tel point que les beaux mecs lui en ont offert un autre… en
bois.
Et enfin, il y a aussi les copains, l'argent facile, les filles, les bagnoles…
On s'en sort comment de tout ça ?
Vaincu, Bossavie va finalement consacrer tout son savoir-faire à
fomenter le coup du siècle, celui dont tous les malfrats rêvent… Celui
que certains flics qui naviguent en eaux troubles ont peine à régler
avec les méthodes traditionnelles…


Mon avis


Je tiens à remercier la maison d'édition "IS EDITION" pour la découverte du livre "La Geisha et et le casseur de tirelire", j'avoue que la couverture est de toute beauté et le titre assez drôle.

Un récit assez décalé et plaisant à lire et ce personnage Jason Bossavie qui fait fondre les coeurs de ces dames, d'ailleurs il m' a personnellement éblouie et attirée.Passons aux choses sérieuses laissons de coté l'amour, le romantisme car il n' y a pas que ça dans ce livre, l'action est présente et les personnages sont assez loufoques et parfois méchants.

Frederic Gynsterblom : " Help me "




4 ème couverture


Sabine Ferrière, enquêtrice pour le compte d’une mystérieuse Fondation privée, est brutalement replongée dans les ténèbres de son passé alors qu’elle travaille sur une affaire d’apparence banale.

Entre folie et phénomènes étranges, une plongée vertigineuse au cœur des origines du Mal.

Mon avis

Je tiens tout d'abord à remercier l'auteur pour l'envoi de "Help me ". J'ai été intriguée par la couverture du livre assez étrange et par le résumé . C'est un thriller glauque à souhait, âmes sensibles s'abstenir, il ne faut pas mettre "Help me " entre toutes les mains car certaines scènes sont à la limite de l'insoutenable.


Dès le début du livre, le décor est planté, cadavres purulents et scènes assez trash et ensuite j'ai fait connaissance de Sabine, personnage principal de "Help me " assez abimée par son enfance, certains souvenirs reviennent et une comptine qui l'interpelle à tout moment.


« Promenons-nous dans les bois, pendant que le
loup n’y est pas… »

Cette entêtante ritournelle lui vrillait le cerveau,
toujours proférée par ces enfants vêtus de noir qui se
tenaient la main tout en dansant en cercle. Comme à
l’accoutumée les visage s restaient indistincts, tâches
pâles floues avec des trous noirs en guise d’yeux.
La forêt obscure, rendue sinistre par les clameurs
de la faune nocturne, ressemblait à un vaste
labyrinthe végétal dans lequel elle se frayait un
chemin, s’écorchant les mai ns au taillis de ronces.
Elle savait que l’insoutenable l’attendait dans la
clairière toute proche et pour rien au monde elle ne
manquait ce rendez-vous, toutes les nuits, depuis
bientôt vingt-sept ans. "

Que lui est il arrivé? Pourquoi est elle si marquée psychologiquement?

L'auteur, Frédéric Gynsterblom ne fait pas dans la dentelle,il cible plus les scènes où hémoglobine et perversité se font sentir, d'ailleurs mon coeur s'est soulevé par moment car dans certaines parties du livre, le sadisme est présent et c'est parfois dérangeant.

Le rythme est intense, je ne me suis pas ennuyée un seul instant,les pages tournent à une vitesse phénomènale et je voulais savoir le fin mot de l'histoire.
Les chapitres sont assez courts et l'intrigue est captivante.L'écriture est succincte, facile à lire et assez court 160 pages.

Dommage que l'auteur n'a pas étoffé un peu plus l'histoire sur la fondation privée, c'est la seule critique que je donne car malgré tout j'ai passé un bon moment à lire "Help me " j'ai ressenti des sueurs froides, un gros trip ce livre.

Pour le commander c'est ici :

L'auteur








Nationalité : Belgique
Né(e) le : 2/09/1977
Frédéric Gynsterblom est né le 02 septembre 1977 dans la ville de Liège, en Belgique. Sa grande passion a toujours été le fantastique et la création d’univers imaginaires, mais c’est lors de la lecture du roman « ça », qu’il a décidé de faire de l’écriture sa profession.

Au fur et à mesure de son évolution il s’est éloigné des écrits du King pour se rapprocher d’avantage de l’œuvre de HP Lovecraft. Ses autres modèles littéraires sont le génial Clive Barker et le non moins excellent Brian Lumley.

C’est à l’âge de 20 ans qu’il débuta l’écriture de son premier roman intitulé « Les Apôtres de Belzébuth », ce travail de longue haleine dura quatre années passionnantes durant lesquelles il se laissa bercer par l’ivresse de la création. Parallèlement à son parcours littéraire il a suivi une formation en psychanalyse Lacanienne et Jungienne ainsi qu’à diverses techniques de développement transpersonnel.



samedi 3 janvier 2015

Stephen King : " Sale gosse "




4 ème couverture


«Souvenez-vous, ça revient sous les traits d'un enfant… »

Un gamin diabolique qui provoque immanquablement la disparition de vos proches, un sale gosse qui a conduit le comptable George Hallas dans le couloir de la mort. Et qui pourrait bien un jour croiser votre chemin….


Mon avis


Quelle joie de découvrir cette nouvelle en numérique assez courte mais je suis toujours enthousiasmée de voir que Stephen King a su une fois de plus me mettre dans état euphorique en lisant "Sale Gosse".


Stephen King a apprécié la France, avec Paris et l’Allemagne en Novembre 2013. Pour nous remercier, nous les fans, il nous a écrit une petite histoire en version numérique en français et en allemand.Elle ne sera pour l’instant qu’en ebook.


Ce récit nous raconte l'histoire d'un homme nommé George Hallas, un comptable, condamné à mort car il a tué un gamin mais c'est loin d'être un enfant ordinaire.


Ce gosse est vraiment un "sale gamin", roux et porte toujours une casquette à hélices.Il ne plaisante pas,se moque méchamment de son entourage et s'en prend sans arrêt à deux jeunes en particulier.

" T'es une actrice de merde qui chante de la grosse merde! le gosse lui crie. Les CORBEAUX chantent mieux que toi! En plus t'es VILAINE! VICKY LA VILAINE, BOUH!".

Je retrouve dans "Sale Gosse " l'ambiance fantastisque de Stephen King, un univers qui me plaît énormément, l'horreur se met en place également au fil des pages.


Les personnages, George Hallas et Vicky m'ont touchés, ils essaient tant bien que mal de fuir un univers sombre pour ainsi mener une vie heureuse mais hélas ça ne dure qu'un temps car ils rencontrent sans cesse sur leur chemin ce "sale gosse".

Les chapitres sont courts et l'horreur s'installe au fur et à mesure,j'avais qu'une hâte savoir ce que ce sale gamin allait encore faire.

J'ai ressenti beaucoup de haine et de dégout envers ce sale mioche au point de lui tordre le cou.

Une histoire très plaisante à lire, où j'ai suivi avec intérêt l'histoire de George Hallas jusqu'à la chute finale.










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