Editions Michel Lafon
480 pages
4 ème de couverture
Une famille unie peut-elle surmonter l'impardonnable ?
Catherine est l’épouse comblée de Marc.
La mère épanouie d’Anaïs et Florian.
La fille aimante de Josette.
La sœur complice de Nathalie.
Catherine est une femme bien, comme il faut.
C’est du moins ce que tous pensaient, jusqu’à ce que la police vienne l’arrêter.
Commencent alors pour ses proches l’attente et les doutes…
Mon avis
Cela faisait un moment que j'avais fait mon ressenti sur ce titre mais d'autres choses me préoccupaient auparavant. C'est le bon moment de vous en parler et j'espère que cet avis vous donnera envie de découvrir ce roman.
Comment ne pas être touché par " Cinq cœurs en sursis " ? Mon choix s'est porté sur ce titre car une personne de la médiathèque m'en a parlé positivement et a tellement aimé qu'elle l'a lu en une journée.
Il fait plus de 400 pages, j’espérais que la lecture serait top.
J'ai donc démarré ce livre tard le soir et j'ai fait la connaissance de la famille Dupuis. Croyez-moi, ce n'est pas de gaieté de cœur ! Catherine Dupuis, mère de deux enfants, Anaïs et Florian, est placée en garde à vue. Béatrice Lancier qui était dans le même cours de yoga que Catherine, a été retrouvé dans les marais de Tasdon. Lacérée de plusieurs coups de couteau, tout porte à croire que Catherine est accusée de ce meurtre. La famille de la suspecte ne croit pas du tout à cette conclusion.
Je n'en dévoilerai pas plus sur cette histoire. Laure Manel est une autrice que je viens de découvrir avec ce titre. C'est un roman avec une enquête policière puisque l'autrice aborde le thème de la criminalité et l'histoire se focalise sur le sort de Catherine Dupuis mais également sur son entourage. Toute la famille est touchée, son mari, Marc, sa sœur, Nathalie, ses deux enfants et la maman de Catherine, Josette.
" Elle n'a pas seulement tué Béatrice L.... elle a tué quelque chose en nous tous. Une part d'insouciance, le bonheur évident dans lequel on vivait, nos certitudes, notre fierté, notre potentiel de joie... notre famille, peut-être. Qu'en restera-t-il ? "