Editions LBS
272 pages
4 ème de couverture
« Que pouvait bien faire cette gamine avec le collier de la disparue de 1997, celle dont le corps venait justement d’être retrouvé dans le sous-sol de la maison des Melville ? »
Editions LBS
272 pages
4 ème de couverture
« Que pouvait bien faire cette gamine avec le collier de la disparue de 1997, celle dont le corps venait justement d’être retrouvé dans le sous-sol de la maison des Melville ? »
Editions Hugo Thriller
473 pages
4 ème de couverture
Mon avis
« Ne jamais laisser de trace. Un hackeur n'est pas un prédateur qui parade avec sa proie dans la gueule. Un hackeur n'est personne : un fantôme dans la machine, mais dans celle d'un autre. »
Editions Slatkine et Cie
320 pages
4 ème de couverture
Editions Cairn
344 pages
4 ème de couverture
Mon avis
Avant tout j'aimerais souligner que cette couverture est juste magnifique ! Ce polar n'est pas qu'une histoire de mecs à ce qu'on pourrait penser à la lecture de la quatrième couverture.
Dans ce récit, on va suivre Moktar, un homme fort de corpulence marié avec Sylvie et qui a quatre enfants. Son passé va se dévoiler au fur et à mesure de la lecture ; il y aura l'histoire de Coco et sa rencontre avec sa première femme Lilie. Le parcours militaire de Mokar avec Joe est aussi souligné.
" La Légion étrangère, trois ans. Un contrat court, des opérations en Afrique. Là, j'ai rencontré Joe. A Dakar, il était sergent, on s'est pris d'amitié; "
Mais ce n'est pas que du noir, un brin d'humanité se fait sentir ; Moktar dicte quelques règles de conduite et d'éducation à certains jeunes. J'imaginais très bien au fil des pages les méandres du trafic de drogues dans le quartier de Saragosse à Pau.
" - La crise, Le Bancal, les trois morts dans la cave, les Schmitt. C'est pas le bon moment, je sais, mais c'est jamais le bon moment quand il faut mourir ! "
Jérémy Bouquin s'imprègne et se met dans la peau de Moktar. Il y a de l'action de l'adrénaline à profusion ! C'est assez prenant et addictif : les dialogues collent parfaitement aux personnages. Mais j'ai un seul point négatif à dire ; la fin est trop vite arrivée car je me suis vraiment attachée aux différents aspects de cette histoire. La qualité principale justement de cet auteur est de savoir instaurer une ambiance captivante.
J'ai lu ce polar en lecture commune avec Maud Vandenbyvanghe du site " Les lectures de Maud " , j'ai hâte de savoir ce qu'elle va en dire.
Editions L'Archipel
360 pages
4 ème de couverture
Avocate appréciée pour son dévouement, Diana se bat pour améliorer le sort des réfugiés, mais elle se montre froide et distante, sinon blessante, envers les siens. Ce dont souffre Lucy, sa belle-fille, qui rêvait de trouver en elle une mère de substitution.
" On ne choisit pas ses beaux-frères ou belles-sœurs, pas plus que la vieille tante aigrie et alcoolique de son conjoint, ou le cousin avec son défilé de petites copines qui ne parlent pas anglais. Mais avant tout, on ne choisit pas sa belle-mère. "
City Editions
352 pages
4 ème de couverture
" Mais pas cette fille dans la salle d’interrogatoire. Quand ils lui ont posé la question, elle s’est contentée de détourner la tête. Elle agit comme si cela lui était égal qu’on l’ait retrouvée. D’où les interrogations de certains d’entre eux, qui se demandent si oui ou non elle est une victime. "
Editions L'Achipel
456 pages
4 ème de couverture
" Dans le parc, tout est immobile. Seuls les tourniquets qui arrosent la pelouse promènent des arcs-en-ciel à la pointe du gazon. Pas l’ombre d’une brise sous le ciel presque blanc. La touffeur semble pénétrer dans le manoir à travers le moindre interstice. "
Editions Albin Michel
240 pages
4 ème de couverture
Mon avis
Professeur de Philosophie, Joséphine mène une vie quotidienne alarmante entre Xanax et son emploi du temps au lycée de Drancy, elle décide de changer cette vie maussade en devenant strip-teaseuse la nuit car elle est fascinée par les danseuses nues et le milieu de la nuit.
" Je jalousais leur nudité sereine, le naturel de leur féminité. Sans artifices, elles étaient belles, s’imposant sans provocation.Des femmes dénudées, sans être à nu, que nul ne pouvait détrôner. Face à elles, je me suis toujours cachée, dissimulant mon corps derrière une serviette de bain. "
Son nom de scène est Rose Lee, elle danse et se déhanche dans une boîte de nuit aux Champs-Elysées. Les cours ne lui satisfont plus, alors elle s'approprie une nouvelle identité le soir car elle a besoin de se redécouvrir en tant que femme pour développer la grâce et la beauté du corps.
" Tu es mon corps, je n'en ai pas d'autre. Nous allons mieux nous entendre. "
Joséphine se surprend et se dépasse en vendant du rêve aux clients. " On ne touche pas " est le premier roman de l'auteure. C'est écrit avec finesse et sans vulgarité. Les thèmes abordés sont l'acceptation de soi et l'emprise du quotidien. Les chapitres se tournent avidement. J'ai vraiment aimé suivre l'histoire de Joséphine, sa façon de changer radicalement de vie entre le jour et la nuit. Ketty Rouf reflète une toute autre image de la femme, comment changer la nature en devenant le contraire de ce que l'on est ?
" On ne touche pas " est un roman qui m' a beaucoup plue par les thèmes référencés et aussi par le rôle que l’héroïne joue dans cette histoire.
Ce roman est une très belle découverte ; c'est éblouissant, sensuel et écrit sans vulgarité puisque la philosophie s'en ressent dans certains passages. C'est court mais d'une intensité qui fait entrevoir une grande richesse d'écriture !
L'auteure