288 pages
4 ème de couverture
En Bretagne, un bibliothécaire décide de recueillir tous les livres refusés par les éditeurs. Ainsi, il reçoit toutes sortes de manuscrits. Parmi ceux-ci, une jeune éditrice découvre ce qu’elle estime être un chef-d’œuvre, écrit par un certain Henri Pick. Elle part à la recherche de l’écrivain et apprend qu’il est mort deux ans auparavant. Selon sa veuve, il n’a jamais lu un livre ni écrit autre chose que des listes de courses... Aurait-il eu une vie secrète? Auréolé de ce mystère, le livre de Pick va devenir un grand succès et aura des conséquences étonnantes sur le monde littéraire. Il va également changer le destin de nombreuses personnes, notamment celui de Jean-Michel Rouche, un journaliste obstiné qui doute de la version officielle. Et si toute cette publication n’était qu’une machination? Récit d’une enquête littéraire pleine de suspense, cette comédie pétillante offre aussi la preuve qu’un roman peut bouleverser l’existence de ses lecteurs.
Une jeune femme, amoureuse des Lettres, découvre un manuscrit dans un endroit inédit au fond de la Bretagne. Dans une bibliothèque, un certain Gourvec y a créé un rayon réservé à des manuscrits refusés.
Comment trouver une citation ou un extrait dans « Le mystère Henri Pick»? C’est en effet un tâche possible mais hautement difficile tant le roman est truffé de bons mots, d’oxymores délirants et de phrases « délicates ».
« Pendant toute la matinée, Magali s’efforça de travailler comme si de rien n’était. Elle avait toujours aimé cette expression qui tente de masquer l’essentiel ; en l’occurrence, le précipice d’une décision majeure. »
Voilà, on l’aura compris, je suis subjuguée par ce dernier opus de David Foenkinos. Plutôt habituellement attirée par du noir, du polar pur et dur, je ne suis pas une lectrice de cet auteur.
Et pourtant… Il me faut bien dire que ce mystère est une vraie énigme digne d’un roman policier. On est bluffé du début jusqu’à la fin.
En définitive, ce petit bouquin de 286 pages nous réserve beaucoup d’agréables surprises.
Et pourtant… Il me faut bien dire que ce mystère est une vraie énigme digne d’un roman policier. On est bluffé du début jusqu’à la fin.
En définitive, ce petit bouquin de 286 pages nous réserve beaucoup d’agréables surprises.