Editions Presse de la Cité
464 pages
4 ème de couverture
" Elle ne tentera pas de fuir une seconde fois ; il sait que la magie du cirque a déjà planté ses crocs en elle."
464 pages
4 ème de couverture
" Elle ne tentera pas de fuir une seconde fois ; il sait que la magie du cirque a déjà planté ses crocs en elle."
Editions Hugo poche
390 pages
4 ème de couverture
« En Angleterre, il n'était pas vulgaire d'aimer une équipe, une couleur ; c'était même un élément constitutif de la société, une part de sa culture au sens noble du terme. »
« Malgré ses efforts, il n'était rien d'autre que ce jeune garçon de treize ans et quelques mois pour qui le football comptait plus que tout. Cantona était son idole depuis qu’il avait choisi de soutenir les Rouges plutôt que les bleus, il ne se passait pas une journée sans qu'il pense au King. »
Editions Hugo Thriller
453 pages
4 ème de couverture
Editions Zinédi
238 pages
4 ème de couverture
« Plus tard dans la soirée, le vent se calma et une fine neige d'avril remplaça la pluie. Il resta une partie de la nuit à fumer en regardant les flocons recouvrir l'asphalte de la rue d'une dentelle fragile qui prenait une teinte ivoire sous les réverbères. »
XO Editions
480 pages
4 ème de couverture
Editions Albin Michel
304 pages
4 ème de couverture
" - Tu viens de Bretagne ? -Oui, tout droit de Plouzané, à côté de Plougonvelin. Non loin de Ploumoguer et de Plouarzel. D'où mon pseudo de Plouc sur Leboncoin, avait-elle répondu d'une traite dans le regard amusé de Guillaume. "
Editions Plon
432 pages
4 ème de couverture
Editions Hugo Poche
648 pages
4 ème de couverture
Me voilà embarquée dans un huis clos machiavélique à souhait ! C'est bien alléchant de recevoir par les réseaux sociaux une annonce pour tenter de gagner 100 000 euros en se mettant dans la peau d'un enquêteur de police scientifique mais seul six participants devront s'affronter. Oui mais et à quel prix ?
Un jeu qui peu à peu va entrainer les candidats vers une descente infernale. Leur soif de réussir et de vaincre l'un des participants est plus fort si bien qu'il faut malgré tout respecter certaines règles simples mais parfois abominables.
" Et c'est censé être un jeu ? Mais enfin quoi ! C'est du délire oui ! Jusqu'où vous êtes prêts à aller pour gagner ? Vous acceptez d'être traités comme des bêtes, d'être parqués jour et nuit, de vous laver avec l'eau du puits, de vivre au rythme du soleil, d'obéir aux volontés du maître. Et puis quoi encore ? "
Avec « Synopsix », Angélina Delcroix s’attaque à l'exercice difficile mais très attirant du huit clos. Elle a su respecter les règles du genre en maintenant une pression et en diffusant un univers asphyxiant. Les six personnes qui vont devoir résoudre des scènes de crimes dans un manoir abandonné représentent bien ce que l'on attend d'un huit clos réussi. Elle a donc tout bon de ce côté-là.
Certaines scènes sont à la limite du soutenable ; le lecteur ne sortira pas indemne de cette lecture. Quelques frissons sont ressentis au fil des pages. L'effroi atteint le paroxysme. Mais ce que j'ai moins aimé dans cette histoire, c'est que l'auteure a décrit des parties inégales ; elle a surtout assuré en deuxième partie qui est nettement supérieure qu'au début. Elle fait appel aux classiques du genre horrifique ; le brouillard, la neige envahissante, le vieux manoir et l'impression d'être observé sans cesse ; des redondances certes bien amenées mais trop convenues.