Editions Livr's Editions
454 pages
4 ème de couverture
« Eva Lorca, chroniqueuse à succès du magazine people «Murmures d’ici et là», est victime d’une violente agression qui la laisse au seuil de la mort. Elle sort de l’hôpital après plusieurs mois avec le besoin de s’isoler du reste du monde. Pour tenter de se reconstruire, elle emménage dans son dernier caprice, une immense maison de maître qu’elle a exigé en échange du divorce que demande son mari. Eva commence à explorer sa nouvelle demeure et trouve dans un coffre au grenier les mémoires de l’ancien propriétaire des lieux, Henri Ficheaux. Eva découvre alors au fil des pages de ce journal intime la descente aux enfers d’Henri et les crimes de plus en plus atroces dont celui-ci s’est rendu coupable. Au fil de sa lecture, un lien étrange se tisse entre Eva et Henri. Elle va remonter cette piste sanglante jusqu’à trouver l’horreur, mais cette enquête aidera-t-elle Eva à se relever, ou l’entraînera-t-elle dans les abîmes jusqu’à ce que sa raison défaille ? »
Mon avis
J'ai mis du temps à lire " Mémoires assassines" et j'ai pris plaisir à suivre la vie de chaque personnage.
Je félicite d'ailleurs l'auteure car sa plume a grandement évolué; elle a pris plus d'assurance et j'ai senti qu'elle maîtrisait parfaitement le thème qui en découle.
Dans " Mémoires assassines", Christelle Colpaert- Soufflet nous narre l'histoire de Eva Lorca. Ancienne journaliste, elle a subi une grave agression la rendant agoraphobe.
Sortant de l'hôpital depuis peu, Eva décide de reprendre sa vie en main et de combattre ses démons. Elle divorce et emménage dans une grande et belle demeure.
" Il m'avait fallu dix-sept mois pour redevenir une moitié de femme. Pourquoi moitié? Parce qu'en plus d'une agoraphobie très prononcée, je souffrais d'arthrose post-traumatique consécutive aux nombreuses fractures et interventions chirurgicales qu'avait subi mon corps durant et après l'agression. "
Mais ce que Eva va découvrir à l'intérieur de cette bâtisse se révélera en véritable cauchemar et angoisse.
" Je sursautai. L'interphone s' égosillait à nouveau dans toute la maison. Je venais de me rendre compte que je vivais désormais dans l'antre d'un tueur. "