192 pages
4 ème de couverture
Dans un commissariat de la banlieue parisienne, Paul Catard est interrogé par le capitaine Vigeois. On vient de retrouver l’homme bâillonné et menotté dans la chambre de sa petite amie. La situation prêterait à sourire si la petite amie n’était pas Mélanie Vasseur, lieutenant de police travaillant dans l’équipe de Vigeois. La surprise est d’autant plus grande lorsque Catard dévoile que Mélanie a survécu à une innommable tragédie qui s’est déroulée dans un lycée de province, quelques années auparavant. Souffrant de violents traumatismes psychologiques, elle a pourtant réussi à intégrer la police et, encore mieux, à cacher son passé. Vigeois et ses hommes se questionnent encore sur la véracité de ces révélations quand ils sont appelés en renfort au parc de la Légion d’honneur de Saint-Denis, où un attentat se prépare. Le temps est compté, et la police n’a plus le droit à l’erreur ! L’angoisse, le drame, le suspense saisissent le lecteur là où il ne les attendait pas.
Mon avis
Une journée qui pourrait se dérouler normalement pour les élèves de seconde C, mais le professeur de français, Mr Bernard en a décidé autrement. En verrouillant la salle G3, il commet l'irréparable et prend en otage les élèves.
Mr Bernard donne ordre de continuer le cours en obligeant les lycéens à écrire une dictée extrait de l'oeuvre de " la Divine Comédie" du grand Dante Alighieri. Les élèves n'ont pas le droit à l'erreur; une faute est un avertissement et une deuxième erreur sera une sanction définitive! Comment ne pas obéir devant un tel dilemme? Leur vie ne tient qu'à un seul fil et le professeur le fait savoir en racontant la scène du livre de " Marche ou crève" de Stephen King. Ce n'est qu'une partie du livre que je vous décris, la suite est encore plus angoissante. Un homme retrouvé menotté, Mr Catard raconte non pas son histoire mais celle de Mélanie Vasseur, une fille traumatisée par son professeur de français...
" La majeure partie des lycéens se mirent à écrire, d'autres firent mine de rédiger, se demandant encore si tout cela était réel. Peut être que le canular allait soudainement prendre fin et que Cindy et Bertrand allaient se relever en riant de la blague qu'ils venaient de faire à leurs camarades. "