Edition Omnibus
203 pages
4 ème couverture
Curieux, patient, obstiné, Van der Valk a pu être comparé à un Maigret hollandais, mais un Maigret mâtiné de Philip Marlowe pour sa décontraction et son humour parfois sarcastique.
Je tiens tout d'abord à remercier "masse critique" de Babelio pour cette lecture. J'ai choisi ce roman car je voulais découvrir l'auteur et le résumé de ce dernier me donnait envie de découvrir cette enquête.
Ayant lu dans ma jeunesse pas mal de romans de Maigret, Georges Simenon, j'avoue que j'ai vraiment apprécié "Psychanalyse d'un crime".
Dès le début du roman, on assiste à la mort d'un artiste peintre alcoolique nommé Cabestan. L'inspecteur Van der Valk va devoir suivre cette enquête de très près car il reçoit une lettre anonyme accusant le docteur Hubert, un neurologue, d'avoir assassiné ce peintre....Une tâche assez délicate pour ce policier car dans cette affaire, de nombreux personnages semblent connaitre ce talentueux peintre et sont tous en relation entre eux. J'ai eu beaucoup de mal à suivre chaque personnage mais au fur et à mesure de la lecture, on commence à comprendre le rôle de chacun d'entre eux.
" Chaque personnage se reliait merveilleusement au suivant par de jolis déliés propres à réjouir le coeur des imbéciles du genre d'Arthur".