dimanche 10 août 2014

Dominique Faget " Celui qui ne meurt jamais "





4 ème couverture



En Afrique, lorsqu’un homme meurt, le sculpteur du village s’imprègne de l’aura du défunt pour façonner secrètement un Masque à son effigie. Il y enfermera l’âme du disparu jusque dans l’éternité. Automne 1975, Bordeaux, des femmes retrouvées atrocement mutilées…Un reporter en proie à des cauchemars et à des visions d’horreur…Une jeune inspectrice métisse enquête. Ses investigations vont la mener jusqu’au cœur de l’Afrique et de ses mystères.

Mon avis
C'est mon premier de l'auteur, et je dois dire que c'est une réussite.

Si vous aimez les livres à suspense, ce roman est pour vous.

L'écriture est simple, limpide qui se lit très bien.

J'ai adoré les différentes époques, j'ai appris pas mal de choses d'ailleurs ; l'époque coloniale, 600 avant JC et la Côte d'Ivoire.

A travers ce livre, la haine, la vengeance et des meurtres sont omniprésents.Un masque avec d'étranges inscriptions vous fera frémir.






" Une lame pour trancher.Un pognard pour découper. Un pic pour achever."

J'avais hésité à prendre "celui qui ne meurt jamais" car je pensais que les époques m'auraient ralenties mais ça m 'a fait l'effet inverse; je me suis imprégnée de ce spatio temporel.


J'ai voyagé en Afrique, en Egypte et en Arcachon et ce fut l'extase pour moi et pourtant une ambiance à la limite de l'angoisse s'instaure, des meurtres aux traditions africaines se multiplient.

Dominique Faget a su me mettre en transe avec sa plume légére, douce et enivrante.


Je ne peux que conseiller ce livre aux lecteurs qui aiment se projeter à différents siècles;un livre que j'ai énormément apprécié de part la syntaxe et l'hitoire merci beaucoup Dominique Faget pour ce roman et hâte de vous relire prochainement.



L'auteur









Dominique Faget, 51 ans, habite en Gironde. Elle est Membre de l’Association d’Egyptologie de l’Université Bordeaux et également Coorganisatrice de la Biennale des Littératures Francophones d’Afrique Noire.



3 commentaires:

  1. Bonsoir Delphine,
    Merci pour cette superbe chronique.
    Vous aves ciblé, en peu de mots et avec des phrases simples, le coeur de ce roman.
    Ce n'est pas évident du tout.
    J'ai été fasciné moi aussi par "Celui qui ne meurt jamais".
    A bientôt,
    Cordialement,
    Ramon

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  2. Désolé pour la coquille sur "Vous avez ciblé"! :-(

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