Editions Calmann-Lévy
384 pages
4 ème de couverture
La plupart des gens n’ont pas voulu y croire. Les incidents se passaient loin, sans témoins. Mais bientôt, la menace s’est rapprochée, a touché les voisins. Ensuite, Internet a cessé de fonctionner. La télévision et la radio se sont tues. Les téléphones ne sonnaient plus. Certains, barricadés derrière leurs portes et leurs fenêtres, espéraient pouvoir y échapper.
Depuis qu’ils sont nés, les enfants de Malorie n’ont jamais vu le ciel. Elle les a élevés seule, à l’abri du danger qui s’est abattu sur le monde. Elle a perdu des proches, a assisté à leur fi n cruelle. On dit qu’un simple coup d’oeil suffi t pour perdre la raison, être pris d’une pulsion meurtrière et retourner sa violence contre soi. Elle sait que bientôt les murs de la maison ne pourront plus protéger son petit garçon et sa petite fi lle. Alors, les yeux bandés, tous trois vont affronter l’extérieur, et entamer un voyage terrifi ant sur le fl euve, tentative désespérée pour rejoindre une colonie de rescapés.
Arriveront-ils à bon port, guidés par leur seule ouïe et leur instinct ?
Mon avis
" Bird box" est un livre comme je les aime. Je ne m'attendais pas du tout à ce genre d'histoires. Je me demandais à chaque instant où l'auteur voulait en venir. Ce roman m'a scotchée, m' a fait frisonner tout au long de la lecture.
Josh Malermann a eu une idée assez originale car sans trop donner d'explications sur la nature du danger, l'auteur a su m'embarquer dans ce récit à la fois troublant et effrayant.
Vivre dans l'obscurité avec les personnages peut paraître plus qu'étrange et ressentir sans cesse le danger c'est assez flippant et alarmant. J'ai ressenti de l'angoisse et de la peur mais aussi de l'incompréhension.
" Bird box" est totalement addictif.
On ne peut pas laisser entrer une ombre, une aura c'est interdit.
Un sentiment de malaise se dégage de ce roman .
Je me demandais sans cesse si les rescapés allaient survivre et s'ils allaient s'en sortir face au danger qui guette dehors.
L'auteur arrive à jouer avec mes nerfs.