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jeudi 14 mai 2015

Saul Black: "Leçons d'un tueur"



Edition Presses de la Cité Etranger
496 pages


4ème couverture





Repérer, traquer, tuer, recommencer.

Katrina, Sarah, Angelica, Shyla, Yun-seo, Leah, Lisbeth... Sept femmes âgées de vingt-quatre à quarante ans. Sept femmes retrouvées mortes aux quatre coins des Etats-Unis. Violées, torturées, exécutées. L'oeuvre d'un homme ou de plusieurs ? 
Depuis trois ans, la police tourne en rond et n'a pour indices que d'étranges objets découverts dans les corps mutilés des victimes. 
Aujourd'hui, l'inspectrice à la Criminelle de San Francisco, Valerie Hart, sent qu'elle tient enfin une piste sérieuse. 

Mais il faudra faire vite, car la prochaine cible pourrait bien être une petite fille de dix ans piégée dans une cabane isolée du Colorado. 
Alors que ses vieux démons refont surface, Valerie se lance dans une course contre la montre... 
Saul Black signe un thriller implacable et nous plonge avec maestria dans l'horreur la plus totale. En sortirez-vous indemne ?

" Ne lisez pas ce texte. Aucun lecteur ne mérite d'être autant terrifié. " Linwood Barclay





J'ai le plaisir avant tout de partager mon ressenti avec Louise Canal, une femme passionnée de livres, au delà des livres c'est une femme généreuse, adore ces "zouzous de chats" eh oui! il faut dire que c'est aussi une de ses préoccupations. Ayant lu en même temps "Leçons d'un tueur", je lui laisse ainsi la parole.



L'avis de Louise Canal


J'ai eu dû mal à rentrer dans l'histoire car j'ai trouvé le début du roman assez long à mon goût. J'ai persisté par curiosité et j'ai très bien fait! Je me suis attachée aux personnages Valérie, Angelo, Nell, Claudia.... L'histoire est prenante, horrible mais j'avais envie de connaitre la fin de celle-ci et l'ambiance me faisait penser à la série "esprits criminels".Je voulais savoir comment le psychopathe allait se faire coincer mais aussi de comprendre comment il en est arrivé là. "Leçons d'un tueur" m'a fait penser aussi à un véritable jeu du chat et de la souris! Ce qui est plaisant et fait monter le suspens.


Mon avis




Une couverture qui me plait beaucoup avec des mots écrits en rouge assez percutants et me signalent que je vais passer un excellent moment de lecture. "Repérer, traquer, tuer, recommencer". Je sens que la magie va s'opérer sans compter la phrase de Linwood Barclay qui m'interpelle et me fait comprendre que " Leçons d'un tueur" fait l'effet d'une bombe.

Certes avec ses mots percutants, j'ai passé un agréable moment à lire ce livre mais delà à dire "Ne lisez pas ce texte. Aucun lecteur ne mérite d'être autant terrifié", je ne suis pas trop d'accord, je n'ai pas trop frémis, eu peur à ce point.

Je vous avouerai que j'ai vraiment eu dû mal à lire le début de ce roman.Je trouve le début très long mais au fur et à mesure que j’avançais dans le récit, l'intrigue se faisait sentir et l'ambiance devient assez étouffante et dérangeante.

J'ai englouti ce livre pratiquement en une après midi tellement c'est prenant.

L'auteur, Saul Black, a su me maintenir en haleine du début à la fin, sans temps mort, ça défile à une vitesse phénoménale. Une fois commencée, vous ne serez pas au bout de vos peines. C'est une véritable course poursuite, il y a des moments où on pense que tout va bien se passer mais au final ça reprend de plus belle.

Les personnages sont tout en couleur; des méchants, une flic paumée et d'autres aux allures assez étranges ou en manque d'amour.

Un thriller que je recommande chaudement car l'horreur et l'enfer sont omniprésents. Le rythme est assez lent au début mais une fois commencée, je peux vous assurer que vous aurez dû mal à le lâcher. 


Merci à Louise d'avoir participé et donné son avis sur ce roman.


L'auteur



Saul Black est le pseudonyme de l'écrivain britannique Glen Duncan, né à Bolton, en 1965. Après des études de philosophie et de littérature, il devient libraire à Londres. En 1996, il publie son premier roman, Hope. Suivront neuf romans, dont la trilogie fantastique du Dernier Loup-Garou qui a obtenu un grand succès dans le monde entier.

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